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Titre : Ville de Blaye
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Période : Age du fer , Antiquité , Moyen Age , 16e siècle , 1ère moitié 17e siècle , 3e quart 17e siècle , 4e quart 17e siècle , 1ère moitié 18e siècle , 2e moitié 18e siècle , 1ère moitié 19e siècle , 2e moitié 19e siècle , 2e moitié 20e siècle , 1er quart 21e siècle
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Localisation : Gironde , Blaye
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Estuaire de la Gironde (rive droite)
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 2013
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Auteur du dossier : Beschi Alain
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Historique
Il est établi par l'archéologie que les hommes ont fréquenté le promontoire dominant l'estuaire dès l'époque néolithique, avant de s'y installer de manière définitive durant la protohistoire. Il apparaît qu'une première agglomération est constituée dès les débuts de l'âge du fer, vers 750-500 avant J.-C., et que le site a été occupé sans solution de continuité depuis. Favorisée par la présence d'un petit port d'estey au pied du promontoire, lui assurant un rôle de point de rupture des charges entre les routes terrestres depuis le nord et la voie fluviale vers Bordeaux, la localité de Blavia a prospéré durant l'Antiquité et le haut Moyen Age, renforcée dès lors d'une fonction militaire. Au pied du castrum, sur le tombeau de saint Romain, évangélisateur mort à Blaye à la fin du 4e siècle, est édifié un lieu de culte dont la renommée, aux temps mérovingiens, est confirmée par la visite qui effectue Grégoire de Tours au 6e siècle. La réputation du sanctuaire est accentuée par l'inhumation du roi d'Aquitaine Caribert en 631. Le site est suffisamment attractif à l'époque carolingienne pour qu'une abbaye dédiée à saint Romain y soit établie, formant vraisemblablement dès lors le noyau d'un premier faubourg en bordure d'estey. C'est dans l'abbatiale, après la bataille de Roncevaux en 768, que Roland aurait été inhumé, d'après la chanson de geste du 11e siècle. Quel que soit le fondement de cette tradition, elle traduit la réputation dont bénéficie ce site, à la limite des terres franques et gasconnes, en cette période d'essor des pèlerinages, vers Compostelle notamment. Le castrum est alors en possession d'une branche collatérale des comtes d'Angoulême, d'où est issue la famille châtelaine des Rudel, seigneurs qui ont certainement favorisé la fondation d'une seconde abbaye dans la localité, avant la fin du 11e siècle. Cet établissement de bénédictins dédié au Sauveur, implanté sur une légère éminence de l'autre rive de l'estey, a vraisemblablement constitué à son tour le noyau d'un faubourg dès l'époque médiévale. La ville apparaît prospère au 13e siècle, dotée en 1257 d'un hôpital bordant la route de Saintes. Des coutumes sont octroyées aux habitants en 1261, qui témoignent notamment du rôle du port dans le commerce des vins. Dans la première moitié du 14e siècle, alors que la ville est désormais en possession directe des ducs d'Aquitaine, la topographie urbaine est composée de la ville haute enclose en bordure d'estuaire, dominée par le site castral en position de contrôle sur la route de Saintes, et des faubourgs - dont celui de Saint-Romain précédant la principale porte d'entrée à la ville.
Les nombreux sièges subis durant la guerre de Cents Ans ont fortement endommagé la clôture de la ville haute, et occasionné la ruine des abbayes et de leurs bourgs. La reconstruction et la remise en état ont été vraisemblablement très progressives à partir de la seconde moitié du 15e siècle. Après la création de la jurade par Louis XI en 1474, les principaux travaux attestés en 1487 concernent la réparation des fortifications urbaines, et ceux du tournant du 16e siècle la modernisation des défenses du château. Mais de nouveaux troubles liés aux guerres de Religion apportent leur lot de destruction dès la fin des années 1560 : lors de l'occupation de la ville par les protestants de 1568 à 1570 d'abord, puis lors du siège de 1580 par d'Aubigné, enfin durant le siège de décembre 1592 à juillet 1593 par le maréchal de Matignon. Au début du 17e siècle, une gravure de Chastillon montre certes une enceinte urbaine dégradée, mais des faubourgs importants et structurés par différents axes, à proximité du port d'échouage sur l'estey. C'est effectivement cette image que donnent les premiers plans de la place forte dans les premières décennies du 17e siècle, qui témoignent également des projets et des réalisations visant au renforcement de la vocation militaire de la ville haute, dans le cadre de l'amélioration des défenses de l'estuaire. Le duc de Saint-Simon, gouverneur installé à Blaye à partir de 1636, déplore en 1642 l'état général de délabrement de la place. Les interventions sont cependant limités jusqu'en 1651, où des travaux sur l'ouvrage avancé du château provoquent une destruction partielle de l'abbaye Saint-Romain et le dégagement des glacis par la démolition d'une centaine de maisons des faubourgs de Saint-Romain et de Saint-Sauveur. Les années 1660 voient l'accentuation de la pression militaire sur la ville haute, avec des mesures d'expropriation pour l'établissement de casernes. Par compensation après la destruction de l'abbaye Saint-Romain, la pose de la première pierre de la nouvelle église intervient en 1667, en vis-à-vis de l'ancien établissement et sur le versant de la colline du Monteil. La même année, les jurats délibèrent pour le voûtement de la partie basse du ruisseau de la Cave près de l'hôtel de ville, qui occupait donc déjà son emplacement actuel.
Les années 1680 commencent avec un projet de l'ingénieur François Ferry de reprise de l'ensemble des fortifications, mais les travaux sont encore peu avancés lors de la venue de Vauban à Blaye à l'automne 1685. Le nouveau projet qu'il propose, mis en œuvre dès l'année suivante, rationalise les défenses de ce qu'il est désormais convenu d'appeler la citadelle. Les derniers vestiges de l'abbaye Saint-Romain sont alors engloutis dans le glacis, de nombreuses maisons entre le fossé et l'église Saint-Sauveur disparaissent encore, dont la maison dite de Saint-Simon, de même qu'une halle aux poissons avoisinante et la vieille halle aux grains près du chenal. Entre la fin du 17e et le début du 18e siècle, la ville, désormais entièrement extra-muros, est figurée sur plusieurs cartes et sur le plan-relief de la place forte. A l'issue des travaux et des destructions, le cours d'eau en amont du chenal a été rectifié et déporté vers l'est, et plus aucun immeuble n'occupe l'espace entre la rive droite du ruisseau et les glacis jusqu'à l'entrée de la rue de l'Hôpital, où se trouve la chapelle dite du Petit-Saint-Martin. La voirie est essentiellement organisée depuis les abords du port le long d'un axe sud-ouest nord-est, matérialisé par les rues Premayac, Saint-Sauveur et Jean-Eymier (actuelle rue Saint-Romain), voie prolongée par la rue des Maçons, et par trois axes perpendiculaires aboutissant aux abords de l'église Saint-Sauveur. La voie la plus au sud (actuelle rue Jaufré-Rudel) relie Blaye à Berson par le hameau de Sainte-Luce ; la voie centrale (actuelle rue André-Lafon) est un chemin rural de vallon, entre les collines de Sainte-Luce et du Monteil ; la voie la plus au nord provient de la colline du Monteil (actuelle rue Lucien-Grosperrin). Les autres rues forment un réseau secondaire au sud, partie la plus urbanisée aux abords de l'estuaire et du chenal : ce vaste îlot est traversé par une voie courbe provenant des bords de l'estuaire, appelé rue du Rat (actuelle rue Bellemer ; une rue neuve du Rat est mentionnée dès 1571) ; entre cette voie et le chenal, par la Rue Neuve ; enfin par la rue Saint-Simon, rue rectiligne à l'arrière de la façade des quais, peut-être à mettre à l'initiative du gouverneur. Le plan-relief de 1703 montre la nouvelle halle, et un paysage urbain dense le long de cette voirie, composé de maisons mitoyennes à un ou deux étages, certaines à pignon sur rue. Ce secteur comporte de nombreuses cours, alors que dans la partie nord de la ville, moins dense, chaque maison dispose d'un jardin. Par la proximité immédiate des cultures, et notamment de la vigne, la porosité entre secteurs ruraux et ville est importante à cette époque.
Au front de ville qui existait déjà face à l'estuaire et au chenal au sud (cours du quai et cours du port), se dessine un nouveau front face à la citadelle, conforté par un premier règlement d'urbanisme en 1723, rédigé à la demande de l'autorité militaire, réglant les alignements et les hauteurs. La rue des Maisons neuves (actuelle rue Ernest-Régnier), est progressivement lotie au cours du 18e siècle, de même que le début du quartier de Bacalan, face à l'estuaire.
Des améliorations de voirie interviennent dans le 3e quart du 18e siècle : la rue du Rat était sans doute encore incomplète en 1762, puisqu'il est fait mention dans la jurade de l'ouverture d'une rue appelée rue du Rat "pour percer et donner un débouché afin d'aller plus commodément sur la rue Neuve, au bout de laquelle est une place, qui sert de marché public". En mai 1766, une nouvelle délibération règle l'alignement du nouveau chemin ouvert derrière la rue Jean-Eymier, appelé chemin neuf. Les habitants ayant fourni des terrains pour cette voie demandent à être autorisés à bâtir à une hauteur de 22 pieds, sur l'alignement face à la citadelle. Cette même année, l'autorité municipale fait l'acquisition d'un emplacement pour ouvrir une rue de communication de la rue Jean-Eymier "à la nouvelle rue ou chaussée, et laquelle portera le nom de rue Saint-Romain". L'examen du bâti montre que la seconde moitié du 18e siècle est une période très dynamique pour la construction. Il est vrai que la ville est alors populeuse et prospère : un premier recensement en 1773 indique une population de plus de 3300 habitants. Des embellissements sont décidés dans le 4e quart du 18e siècle, avec la création d'une promenade en 1783 entre le fossé de la citadelle et le chemin neuf, prolongée sur la rive gauche du chenal, selon l'autorisation donnée par l'ingénieur en chef Duvigneau de Beaulieu "d'établir une promenade au bas du glacis du bastion du port, le long du chenal et, à cet effet, de planter deux rangées d'ormes dans l'alignement de la coupure déjà faite à ce sujet". Une place dite du Port est aménagée face au chenal à l'entrée de la rue Saint-Simon, et l'amélioration du port est décidée en 1787 par la construction d'un peyrat.
Durant la Révolution, le dessèchement de la zone marécageuse longeant le fossé de la citadelle est effectué, permettant l'aménagement de promenades et d'une place de marché. Le cimetière de Saint-Sauveur, interdit en 1794, est transféré à celui de Saint-Romain. Un premier plan d'urbanisme est réalisé à la même époque par l'architecte Pérodeau. Au chapitre des démolitions, la vieille chapelle du Petit-Saint-Martin avec son cimetière, à l'entrée de la rue de l'Hôpital côté citadelle, ruinée, est achetée par l'entrepreneur Couty pour en utiliser les matériaux.
La translation du cimetière de Saint-Romain pour le nouveau, créé à Colinet, intervient en 1808. Dans les années 1810, les quartiers de Bacalan et de Bugeau, le long de l'estuaire dans la continuité du quai, sont présentés comme des lieux industrieux en lien avec le commerce maritime. Un nouveau bâtiment public est créé en 1830 avec la construction d'une prison sur des terrains de l'ancienne abbaye Saint-Sauveur. Le plan cadastral levé en 1832 montre une ville développée le long des principaux axes de communication, dans une configuration encore très proche de ce que montraient les plans d'Ancien Régime, et encore très rurale. L'embarcadère sur la Gironde et l'allée y conduisant sont améliorés en 1836. Le déplacement de l'ancien cimetière Saint-Sauveur et l'établissement à son emplacement du marché neuf est décidée en 1837. La rue Saint-Aulaire, reliant la rue Premayac à la rue du Rat, est percée vers 1838.
De grands équipements publics sont réalisés dans les années 1840 : installation de la sous-préfecture dans de nouveaux locaux, construction du tribunal, agrandissement de la prison. Le sous-préfet Haussmann, affecté à Blaye en 1841, favorise l'installation d'un collège. L'alignement de la route principale dans la traverse de la ville et la rue des Maçons est décidé en 1843. La loi du 10 juillet 1851 ayant réduit l'importance militaire de la citadelle, l'essentiel des servitudes pesant sur l'urbanisme sont levées à partir de 1854, permettant le développement du bâti face à la place. Un plan général d'alignement, soumis au conseil municipal au début des années 1860, est dressé par E. Puyot en 1863. L'analyse du registre des augmentations et diminution de la matrice cadastrale indique que le 3e quart du 19e siècle est une période de grand renouvellement du bâti.
Jusqu'alors accessible par la route et par la Gironde, la ville est desservie à partir de 1873 par une ligne de chemin de fer la reliant à Saint-Mariens. L'établissement de cette voie ferrée, dont les rails longent le ruisseau du Saugeron, nécessite de nouveaux aménagements, notamment entre la citadelle et le chenal pour la construction de la gare. Un pont, dit Pont de Paris, est aussi construit sur la voie, entre la rue des Maçons et la rue de l'Hôpital, puis une passerelle métallique piétonne en 1892, fournie par la maison Guillot-Pelletier d'Orléans. L'aménagement des allées et de la fontaine publique dans ces mêmes années, sur un projet de l'architecte Aurélien Nadaud, favorise l'essor de commerces et de boutiques sur le cours au nord de la nouvelle caisse d'épargne : coiffure Lantignac, bijouterie-horlogerie Brilloit, parfumerie Villeneuve puis fabrique de fleurs Dupuy-Palardelle, librairie Weingarten puis Loustau, épicerie Bertin... A l'emplacement d'une scierie mécanique et d'un dépôt de matériel viticole, une fabrique d'engrais chimiques "pour toutes cultures" est également créée par Edmond Milh en retrait du cours de la République, donnant à l'arrière sur la voie ferrée. Cette époque est aussi celle du développement industriel du quartier de Bacalan, avec l'installation de l'usine de pétrole Desmarais et de dépôts d'hydrocarbures.
La commune connaît alors son optimum démographique, avec plus de 5 000 habitants recensés au tournant du siècle. Les anciennes cartes postales donnent une vision vivante de la cité durant la Belle époque, marquée par l'aménagement de places publiques après la démolition de la vieille halle, de l'église Saint-Sauveur sur laquelle est construit l'hôtel des postes, et par la démolition du marché. Le percement d'une communication entre la rue Ernest-Regnier et celle du Collège est approuvée par le conseil municipal en novembre 1903. Le développement du port sur la Gironde et l'accostage de navires de grand gabarit nécessitent la construction d'un nouvel appontement en 1915, rendu indispensable par l'augmentation du trafic dans la période de la Première Guerre mondiale.
Dans l'entre-deux-guerres, le monument aux morts est érigé sur la nouvelle place au voisinage de la poste. La mise en service du bac en 1934 facilite désormais les échanges avec la rive médocaine.
Le quartier de Bacalan est fortement endommagé en 1940 et 1944 par les bombardements des installations industrielles en bord de Gironde. Au sortir de la guerre, la situation du logement est critique. Les premiers lotissements sont implantés sur la colline du Monteil dans les années 1950, dont une cité destinée au logement des personnels de la base militaire américaine de Bussac-Forêt. Le mouvement de construction de lotissements engagé à cette époque est poursuivi dans la décennie et au début des années 1960, à Touvent et à la Cave. L'urbanisation de la colline du Monteil nécessite la construction par la commune d'équipements, tels que le château d'eau de Touvent et la construction d'un groupe scolaire. La physionomie de la ville change peu à cette époque, mais la citadelle, déclassée militairement et acquise par la commune, devient un monument historique ouvert au public. Face au glacis, la passerelle sur la voie ferrée est supprimée en 1963. La conquête des collines du Monteil et de Sainte-Luce par des lotissements est poursuivie dans les années 1970, accentuée dans la seconde partie de la décennie par les besoins de logements consécutifs au projet d'implantation d'une centrale nucléaire à Braud-et-Saint-Louis. EDF devient à cette époque un acteur majeur de la construction dans la commune : outre les constructions en continuités avec les précédents, un lotissement est implanté au nord de la ville à Cap-de-Haut. Les espaces intercalaires agricoles des collines du Monteil et de Sainte-Luce sont lotis dans le 4e quart du 20e siècle. Quant au centre ville, après le busage du Saugeron, le réaménagement de l'esplanade le long des glacis de la citadelle et la démolition de l'usine d'engrais chimiques au milieu des années 1980, de nouveaux bâtiments publics sont construits sur le cours de la République en 1993 et 1995, par les architectes P. Zaruba, J.-C. Gaussen et J.-P. Phuc.
La raréfaction des zones constructibles dans les années 2000 et 2010, contenues à l'est par la voie de contournement marquant une coupure d'urbanisation, contribuent désormais à la densification des secteurs déjà lotis.
Détail de l'historique
Périodes |
Secondaire : Age du fer Principale : Antiquité Principale : Moyen Age Secondaire : 16e siècle Secondaire : 1ère moitié 17e siècle Secondaire : 3e quart 17e siècle Principale : 4e quart 17e siècle Secondaire : 1ère moitié 18e siècle Principale : 2e moitié 18e siècle Principale : 1ère moitié 19e siècle Principale : 2e moitié 19e siècle Principale : 2e moitié 20e siècle Principale : 1er quart 21e siècle |
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Description
La ville est établie sur la rive droite de l'estuaire, à l'extrémité d'un secteur de collines calcaires et en amont d'une vaste étendue de marais asséchés. Le promontoire rocheux culminant par un escarpement à 36 mètres au-dessus de l'estuaire est entièrement occupé par la citadelle, au pied de laquelle est aménagé le port sur un chenal. Le port industriel est, quant à lui, situé en bordure de la Gironde, au sud. La place forte est séparée de la ville par les anciens glacis, zone non aedificandi aménagée en promenades et en stationnements. La topographie urbaine est un héritage du développement des anciens faubourgs de la ville close : quartiers Bacalan, Saint-Simon et du port face à la Gironde et au chenal, quartiers Saint-Sauveur et Saint-Romain sur la rive gauche du ruisseau du Saugeron et quartier du Cône sur l'autre rive, au nord. La bâti ancien est implanté en digitations le long des principaux axes de communication. A l'est, les collines du Monteil et de Sainte-Luce, entre lesquelles circule le ruisseau de la Cave, traditionnellement dévolus à l'agriculture et à la viticulture, sont urbanisées par des lotissements et de l'habitat pavillonnaire.
Le paysage urbain est caractérisé par un front de ville face à la citadelle, au port et à la Gironde. L'habitat est composé de maisons et d'immeubles juxtaposés, généralement d'un à deux étages. Les cours intérieures sont nombreuses dans la partie sud, particulièrement dans l'îlot formé entre les rues Saint-Simon, Bellemer et la Rue Neuve. Les jardins sont quasiment systématiques dans les autres secteurs. Le matériau de gros-œuvre quasi-exclusif est le moellon calcaire enduit, sauf pour quelques bâtiments publics et résidences de notables en pierre de taille, la tuile creuse et la tuile mécanique pour les toitures. Plus rare, le recours à l'ardoise constitue un critère de distinction pour quelques édifices publics et privés insignes.
Détail de la description
Murs |
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Toits |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
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Référence du dossier |
IA33004527 |
Dossier réalisé par |
Beschi Alain
Chercheur et conservateur du patrimoine au sein du service du patrimoine et de l'Inventaire en Aquitaine, puis Nouvelle-Aquitaine (1994-2023). |
Cadre d'étude |
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Aire d'étude |
Estuaire de la Gironde (rive droite) |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
2013 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde |
Partenaires |
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Citer ce contenu |
Ville de Blaye, Dossier réalisé par Beschi Alain, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/574c61b1-1ad0-4fb2-99ae-3e803b5dbe49 |
Titre courant |
Ville de Blaye |
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Dénomination |
ville |
Parties constituantes |
Port sur la Gironde Port sur le chenal du Saugeron |
Documents d'archives
AD Gironde. C 2049. Blaye. rapports et expertises concernant l'estimation de plusieurs maisons à démolir (1651-1694)
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : C 2049
ISBD/Commentaire :
Requêtes, rapports, procès-verbaux et expertises concernant l'estimation de plusieurs maisons et dépendances à démolir, dont celle du duc de Saint-Simon (1651-1694).
Indemnité de 16 000 livres sur le budget de 1666 pour les maisons démolies à Blaye.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : C 3998
ISBD/Commentaire :
Indemnité de 16 000 livres sur le budget de 1666 pour les maisons démolies à Blaye.
Ordonnance concernant l'enlèvement, par les propriétaires, des matériaux provenant des maisons démolies pour servir à faire les glacis et chemins couverts de la citadelle (1689).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : C 3727
ISBD/Commentaire :
Ordonnance concernant l'enlèvement, par les propriétaires, des matériaux provenant des maisons démolies pour servir à faire les glacis et chemins couverts de la citadelle (1689).
AD Gironde. 5 M 351. Blaye : établissements classés dangereux, insalubres et incommodes
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : 5 M 351
ISBD/Commentaire :
Établissements classés dangereux, insalubres et incommodes : dossiers de la commune de Blaye (1846-1938).
Avis de la commission des bâtiments civils de la Gironde sur divers projets de la ville, dont : le plan d'alignement, dressé par E. Puyot, 1863 ; la concession de l'éclairage public au gaz, 1890 ; l'assainissement et d'embellissement des allées par Nadaud, 1894 ; l'ouverture de la rue nouvelle, 1905 ; la concession de l'adduction d'eau, 1911.[documents numérisés, en ligne sur le site des Archives départementales de la Gironde : https://archives.gironde.fr/ark:/25651/vta3f6dc19a34e9e915]
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : 157 T 1-A
ISBD/Commentaire :
Avis de la commission des bâtiments civils de la Gironde sur divers projets de la ville, dont : le plan d'alignement, dressé par E. Puyot, 1863 ; la concession de l'éclairage public au gaz, 1890 ; l'assainissement et d'embellissement des allées par Nadaud, 1894 ; l'ouverture de la rue nouvelle, 1905 ; la concession de l'adduction d'eau, 1911.
[documents numérisés, en ligne sur le site des Archives départementales de la Gironde : https://archives.gironde.fr/ark:/25651/vta3f6dc19a34e9e915]
Documents figurés
Fonds Delpit.
Lieu de conservation : Bibliothèque municipale, Bordeaux
ISBD/Commentaire :
Fonds Delpit.
Périodiques
BEMONT Charles. "La mairie et la jurade dans les villes de la Gascogne anglaise : Bourg, Blaye, Saint-Emilion et Libourne". Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, vol. 10, 1917, p. 121-133, 196-205.
ISBD/Commentaire :
BEMONT Charles. "La mairie et la jurade dans les villes de la Gascogne anglaise : Bourg, Blaye, Saint-Emilion et Libourne". Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, vol. 10, 1917, p. 121-133, 196-205.
BESCHI Alain. "Blaye. Des néoruraux à la conquête du foncier". Migrants, migrateurs, migrations, actes du 14e colloque de l'Estuaire (Blaye, 25 mars 2017), Blaye, 2017.
ISBD/Commentaire :
BESCHI Alain. "Blaye. Des néoruraux à la conquête du foncier". Migrants, migrateurs, migrations, actes du 14e colloque de l'Estuaire (Blaye, 25 mars 2017), Blaye, 2017.
BOUTOULLE Frédéric. L'appel du large. Jaufré Rudel et les autres seigneurs de Blaye au XIIe siècle
ISBD/Commentaire :
BOUTOULLE Frédéric. "L'appel du large. Jaufré Rudel et les autres seigneurs de Blaye au XIIe siècle". Dans Jaufre Rudel. Prince, amant et poète, Trobada Jaufre Rudel tenue à Blaye les 24-25 juin 2011, Cahiers de Carrefour Ventadour, 2012, p. 81-102.
"Etat des maisons détruites pour construire le glacis de la citadelle de Blaye". Les Cahiers du Vitrezais, 1983, n° 44.
Mention : P. 85-102.
ISBD/Commentaire :
"Etat des maisons détruites pour construire le glacis de la citadelle de Blaye". Les Cahiers du Vitrezais, 1983, n° 44.
JANSEN Philippe. "Économie et société à Blaye d'après les coutumes de 1261". Les Cahiers du Vitrezais, 1988, n° 68.
Mention : P. 1-15.
ISBD/Commentaire :
JANSEN Philippe. "Économie et société à Blaye d'après les coutumes de 1261". Les Cahiers du Vitrezais, 1988, n° 68.
JULIEN-LAFERRIERE Pierre, SMANIOTO Michel. "Les sires de Blaye du XIe au XIVe s". Les Cahiers du Vitrezais, 1982, n° 42.
Mention : P. 138-152.
ISBD/Commentaire :
JULIEN-LAFERRIERE Pierre, SMANIOTO Michel. "Les sires de Blaye du XIe au XIVe s". Les Cahiers du Vitrezais, 1982, n° 42.
LANDAIS Marie-Ange. "Blaye à grands traits. Du promontoire à la Citadelle: 7000 ans d'histoire". Les Cahiers du Vitrezais, 1999, n° 92.
ISBD/Commentaire :
LANDAIS Marie-Ange. "Blaye à grands traits. Du promontoire à la Citadelle : 7000 ans d'histoire". Les Cahiers du Vitrezais, 1999, n° 92.
L´ESPERANCE. Journal de l´arrondissement de Blaye, littérature, beaux-arts, commerce, agriculture et annonces, 1836-1904.[collection numérisée en ligne sur le site Gallica.fr : https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768861f]
ISBD/Commentaire :
L´ESPERANCE. Journal de l´arrondissement de Blaye, littérature, beaux-arts, commerce, agriculture et annonces, 1836-1904.
[collection numérisée en ligne sur le site Gallica.fr : https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768861f]
Bibliographie
BELLEMER Émile. Petite histoire de la ville de Blaye. Réimpression de l'édition originale de 1886, PyréMonde Princi Negue, 2009.
ISBD/Commentaire :
BELLEMER Émile. Petite histoire de la ville de Blaye. Réimpression de l'édition originale de 1886, PyréMonde Princi Negue, 2009.
BESCHI Alain, CRON Eric. Vauban, Blaye et le verrou de l'estuaire. Bordeaux: éditions Confluences, 2011 (Visages du patrimoine en Aquitaine; 3).
ISBD/Commentaire :
BESCHI Alain, CRON Eric. Vauban, Blaye et le verrou de l'estuaire. Bordeaux : éditions Confluences, 2011 (Visages du patrimoine en Aquitaine ; 3).
BIROLLEAU-BRISSAC Paulette. Histoire de Blaye. Bordeaux: Ed. de la Société des Amis du Vieux Blaye, 1968.
ISBD/Commentaire :
BIROLLEAU-BRISSAC Paulette. Histoire de Blaye. Bordeaux : Ed. de la Société des Amis du Vieux Blaye, 1968.
COTTON DE BENNETOT Arlette. Petit dictionnaire des rues de Blaye. Bordeaux: Imprimerie Biscaye, 1983.
ISBD/Commentaire :
COTTON DE BENNETOT Arlette. Petit dictionnaire des rues de Blaye. Bordeaux : Imprimerie Biscaye, 1983.
DUVAL S. L'évolution topographique de la ville de Blaye des origines à 1832. T.E.R. de maîtrise, Bordeaux 3, 1995.
ISBD/Commentaire :
DUVAL S. L'évolution topographique de la ville de Blaye des origines à 1832. T.E.R. de maîtrise, Bordeaux 3, 1995.
GELINEAU (docteur). Un des sièges de Blaye, 1880
ISBD/Commentaire :
GELINEAU Edouard (docteur). Un des sièges de Blaye (1580). Blaye : imp. Eugène Brunette, 1880.
GELINEAU (docteur). Histoire de Blaye pendant les dernières années de l'empire. 1885
ISBD/Commentaire :
GELINEAU Edouard (docteur). Histoire de Blaye pendant les dernières années de l'empire : siège de 1814. Surgères : imp. J. Tessier, 1885.
PLANCHET Albert. "La vie maritime à Blaye, avant-port de Bordeaux sous la Révolution". Comité des travaux historiques et scientifiques. Bulletin de la section de géographie. Tome LII, année 1937, p. 83-84.
ISBD/Commentaire :
PLANCHET Albert. "La vie maritime à Blaye, avant-port de Bordeaux sous la Révolution". Comité des travaux historiques et scientifiques. Bulletin de la section de géographie. Tome LII, année 1937, p. 83-84.
Multimédia
Blaye en un siècle. CD-ROM, Société des amis du vieux Blaye ; Association philatélique de l'arrondissement de Blaye, 2003.
ISBD/Commentaire :
Blaye en un siècle. CD-ROM, Société des amis du vieux Blaye ; Association philatélique de l'arrondissement de Blaye, 2003.
Annexes
Règlement d'urbanisme de la ville de Blaye, 1723
D'après Histoire de Blaye, par l'abbé Bellemer, p. 229 :
1723 : Règlement touchant la bâtisse des maisons
"A l'avenir, on ne pourra construire, ni édifier de nouveau aucune maison sur la ligne parallèle à l'avant-fossé de la citadelle, ni même faire d'augmentation considérable à celles qui sont déjà bâties, se contentant de les entretenir en l'état où elles sont, et d'empêcher leur dépérissement total, à l'exception de trois endroits vacants [...].
Pour ce qui regarde les maisons au delà de la première ligne, on ne pourra à l'avenir y faire travailler pour rétablir celles qui menacent ruine, ni faire réparations ni augmentations qu'en suivant les alignements des voisines, tant pour la façade que pour la hauteur, avec la précaution qu'avant d'y remettre la main, le propriétaire avertira l'ingénieur en chef de la place, pour prendre de lui les alignements, s'y conformer, et faire soumission aux jurats ; qu'au cas que, par la suite, pour la sûreté de la place, le roi jugeât de faire abattre quelques-unes desdites maisons, on ne pourra demander qu'un dédommagement, fait selon le premier état de la maison".
Extrait des délibérations du Conseil général de la Gironde, séance du 2 septembre 1854
P. 475-477
Un membre lit un rapport, au nom de la commission d'administration sur les servitudes militaires.
RAPPORT DE LA COMMISSION D'ADMINISTRATION.
Votre commission d'administration a été saisie d'une pétition de plusieurs habitants de la ville de Blaye, par laquelle ils signalent les inconvénients majeurs résultant, pour leurs propriétés, de l'application qui leur est faite des prohibitions de la loi du 10 juillet 1851, relative au classement des places de guerre et aux servitudes militaires. Cette pétition a été soumise au Conseil d'arrondissement. Pénétré de la justesse des réclamations qu'elle renferme, il a exprimé le vœu qu'elle fût placée sous les yeux du Conseil général, pour qu'il appuie lui-même de sa recommandation le redressement du dommage qu'elle signale.
La loi du 10 juillet 1851 a donné au chef de l'État le pouvoir de réduire l'étendue des zones dé servitude autour des places de guerre, du côté d'un centre important de population, lorsque cette réduction pourra être faite sans compromettre la défense; et le décret du 10 août 1853, dont le projet vous a été communiqué, à votre session dernière, a réglementé l'exercice de ce pouvoir. L'art. 6 de ce décret porte que la réduction des zones, emportant, pour les propriétés privées, exonération complète des servitudes militaires, sera prononcée par un décret, et l'art. 15 ajoute que même, dans l'étendue des zones de servitude, des décrets pourront encore déterminer certains terrains qui, sans être entièrement exonérés, seront cependant affranchis de la prohibition absolue de bâtir portée par les art. 7 et 8. Tel est, sur ces matières importantes, l'état actuel de la législation.
La loi précitée du 10 juillet 1851, ayant fait passer la citadelle de Blaye dans la deuxième série des places de guerre, comme poste militaire, une décision de S. Ex. le Ministre de la guerre, en date du 18 avril dernier, a complètement exonéré la presque totalité déjà ville de Blaye, c'est à dire toute la partie située du côté de la route impériale n° 137, de Bordeaux à St-Malo, jusqu'à sa rencontre avec la rue de l'Hôpital, et depuis ce point, du côté droit aussi du chemin de grande communication de Blaye à St-Ciers-la-Lande, en cours d'exécution. Elle laisse, par conséquent, soumise à toute la rigueur des servitudes militaires une très petite fraction delà ville, celle qui est située à gauche de la route impériale, depuis la promenade dite des Soupirs jusqu'à sa rencontre avec la rue de l'Hôpital, et de ce point, à gauche également du chemin de grande communication, elle touche directement de l'autre côté au terrain militaire.
C'est précisément dans cette partie de la ville que sont situés les immeubles des pétitionnaires, et elle n'en comprend pas d'autres ; ce qui donne la mesure du peu d'importance de cette fraction laissée dans la zone des servitudes, nonobstant l'avis des officiers de génie delà place, de même que celui du général inspecteur, qui avait été de la comprendre dans l'exonération générale.
Cette décision de S. Ex. le Ministre de la guerre n'ayant pas encore été sanctionnée par un décret, ainsi que le prescrit l'art. 6 du décret du 10 août 1853, le droit de révision subsiste tout entier ; une demande d'exonération peut donc encore être utilement formée.
En conséquence, considérant : Que la citadelle de Blaye a perdu la plus grande partie de son importance depuis que la passe des navires se trouve entre le fort Pâté et le fort Médoc ; Qu'un rapprochement de 25 à 30 mètres, distance qui existe entre la limite des exonérations réclamées et celles qui ont été accordées, ne saurait compromettre les intérêts de la défense, puisqu'on les regarde comme convenablement assurées, malgré l'élévation considérable des maisons qui bordent le côté droit de la route impériale n° 137, et qui sont éloignées de moins de 250 mètres de la carte du chemin couvert ; Que les propriétés des pétitionnaires sont généralement des ateliers, qui donnent lieu à des demandes multipliées de reconstruction et d'amélioration, lesquelles ne sauraient plus être admises aux termes de l'art. 7 du décret du 10 août 1853 ; Votre commission vous propose d'émettre le vœu qu'il soit fait droit aux réclamations des pétitionnaires, et que la limite des exonérations soit étendue jusqu'à celle du terrain militaire, c'est-à-dire que le bénéfice de la décision ministérielle du 18 avril 1854 profite à la fraction de la ville, qui en a été privée.
Et, dans le cas où S. Ex. M. le Ministre de la guerre ne croirait pas pouvoir faire cette nouvelle concession aux intérêts qui la réclament, votre commission vous propose d'émettre le vœu que, par application de l'art. 15 du décret du 10 août 1853, cette fraction de la ville soit placée dans un polygone exceptionnel et affranchie des prohibitions portées par les art. 7 et 8 de ce décret.
Les conclusions sont adoptées.
Extrait du règlement d’hygiène et de salubrité publique de la ville de Blaye, 1843-1865
AD Gironde. 2 O 858 :
Registre des arrêtés municipaux. Extrait du règlement d’hygiène et de salubrité publique de la ville de Blaye, 22 août 1843.
Art. 1. [...] Les échaudoirs ou tueries, les écuries ou étables, devront être entretenues dans le plus grand état de propreté. Des visites seront faites immédiatement pour s’assurer qu’on n’y laisse rien séjourner qui puisse nuire à la salubrité publique.
Art. 2. Défense expresse d’établir dans l’intérieur de la ville, soit dans les bâtiments, soit dans les cours, enclos ou jardins à ciel ouvert ou de toute autre façon, des dépôts de débris d’animaux, sang, corne, tripailles, cuirs verts, ainsi que tout autre objet sujet à putréfaction, et de mélanger ces mêmes substances avec le fumier pour le détériorer.
Art. 3. Il est enjoint à tous bouchers, charcutiers, marchands ou revendeurs de poisson frais, succursale, ainsi qu’à tous autres habitants chez lesquels ou dans les possessions et propriétés desquels se trouveraient des dépôts de la nature de ceux indiqués à l’art. 2, de faire enlever et transporter hors ville, dans un délai de 48 heures après publication du présent arrêté, en employant si besoin des procédés chimiques pour désinfecter les matières fétides qui les composent [...].
Extrait du règlement d’hygiène et de salubrité publique de la ville de Blaye, 16 octobre 1865.
"Considérant que depuis quelques temps, certains habitants se livrent à l’intérieur de la ville, à l’élève des porcs. Considérant que cette industrie présente, surtout par les conditions dans lesquelles elles se produisent, de graves inconvénients au point de vue de la santé publique" :
- interdiction d’élevage des porcs dans la ville
- il est défendu de laisser s’écouler dans la rue les résidus, eaux grasses ou autres, provenant des laiteries, tueries ou établissements de même nature. Ces matières et liquides devront être portés dans le fleuve, en se conformant aux prescriptions de l’arrêté préfectoral du 7 novembre 1863.
Localisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Gironde , Blaye
Milieu d'implantation: en ville
Cadastre: 1832 B2, B3, 2014
Vue de la ville vers 1606.
Bibliothèque nationale de France , Chastillon Claude
(c) Bibliothèque nationale de France
Plan de la citadelle et de la ville de Blaye. Dessin à l'encre, s.d. [vers 1630-1640]. (GE D-15327).
Bibliothèque nationale de France
(c) Bibliothèque nationale de France
Vue de Blaye depuis l'estuaire. Dessin à la mine de plomb, par van der Hem, 26 mars 1645.
(c) Osterreichische Nationalbilbliothek
Plan de la ville, château et faubourg de Blaye, en 1680. Dessin, encre et lavis.
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Carte de Blaye, 1683 : vue d'ensemble.
Service historique de la Défense
(c) Service historique de la Défense
Plan de la citadelle et de la ville. Dessin, encre et lavis, 1685 [?].
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Plan de Blaye, tel qu'il doit être. Dessin, encre et lavis, 1688.
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Plan de la citadelle et du faubourg, 1691.
Service historique de la Défense
(c) Service historique de la Défense
Plan de la ville et citadelle de Blaye. Dessin, encre et lavis, par Fénis du Tourondel, octobre 1706.
Archives départementales de la Gironde , Fénis du Tourondel Martin de
(c) Conseil départemental de la Gironde
Demi-lune royale et coupes de maisons de la rue Jean Eymier (actuelle rue Saint-Romain). Dessin, encre et lavis, par Fénis du Tourondel, 1706.
Archives départementales de la Gironde , Fénis du Tourondel Martin de
(c) Archives départementales de la Gironde
"Plan d'un coste du polligone de la citadelle de Blaye [...]", le 28 septembre 1708. Dessin, encre et lavis, par Fenis du Tourondel.
Archives départementales de la Gironde , Fénis du Tourondel Martin de
(c) Conseil départemental de la Gironde
Vue du front de ville face à la Gironde, avec le Fort Pâté et la citadelle.
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Plan de la citadelle de Blaye et du terrain environnant : détail de la partie gauche. Dessin, encre et lavis, août 1815.
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Plan de la citadelle de Blaye et du terrain environnant : détail de la partie droite. Dessin, encre et lavis, août 1815.
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Détail du tableau d'assemblage du plan cadastral de 1832.
Archives départementales de la Gironde
(c) Conseil départemental de la Gironde
Vue de Blaye. Dessin par D. Langelot, s.d. [2e moitié 19e siècle].
Bibliothèque municipale Bordeaux
(c) Bibliothèque municipale de Bordeaux
Vue de Blaye : détail du cours du port. Dessin par D. Langelot, s.d. [2e moitié 19e siècle].
Bibliothèque municipale Bordeaux
(c) Bibliothèque municipale de Bordeaux
Projet de construction d'une usine à gaz aux abords du port. Plan d'ensemble du terrain appartenant à la commune. Dessin, s.n., s.d. [4e quart 19e siècle].
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Place Rabolte : procession de la Fête-Dieu, fin du 19e siècle (?).
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue aérienne : citadelle, port et ville.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue d'ensemble depuis le chenal de navigation.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et l'estuaire à l'ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et l'estuaire au nord-ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et l'estuaire au nord-ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et l'estuaire avec l'île Nouvelle, au nord-ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers l'estuaire au nord-ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et l'estuaire au nord-ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers le château de Lagrange et l'estuaire au nord-ouest.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers le nord.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers le sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers les secteurs de lotissements au sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers les secteurs de lotissements au sud.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers les secteurs de lotissements au sud.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers les secteurs des lotissements du Monteil au sud.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers les secteurs des lotissements du Monteil au sud-ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers le sud-ouest.
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Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville au sud-ouest, avec le lotissement dit Résidence Vauban au premier plan.
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Vue depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers l'ouest.
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Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers l'ouest.
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Vue depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et l'estuaire à l'ouest.
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Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et l'estuaire à l'ouest.
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Vue générale depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et la citadelle à l'ouest.
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(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
Vue depuis le sommet du château d'eau de Touvent vers la ville et la citadelle à l'ouest.
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Vue générale depuis le groupe scolaire André-Vallaeys vers le sud-ouest.
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Vue générale depuis le groupe scolaire André-Vallaeys vers la ville au sud-ouest.
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Vue depuis le groupe scolaire André-Vallaeys vers la ville au sud-ouest.
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Vue depuis le groupe scolaire André-Vallaeys vers la ville au sud-ouest.
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Vue depuis le groupe scolaire André-Vallaeys vers la ville et l'estuaire au sud-ouest.
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Vue vers la ville depuis la tour des Rondes de la citadelle.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue vers la ville depuis le bastion du château.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue vers la ville avec la demi-lune de la porte Dauphine depuis le nord.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue vers la ville depuis le chemin de ronde la citadelle au sud, avec le bastion du Port.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue vers la ville depuis le chemin de ronde de la citadelle au sud.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue des vestiges de l'abbaye Saint-Romain et des immeubles construits face à la citadelle entre la fin du 19e siècle et la fin du 20e siècle.
Barroche Adrienne
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Bastion du Port avec le cours du Port à l'arrière-plan.
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Touvent ouest : vue sur la ville au sud depuis une prairie.
Beschi Alain
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Vue de la rue Premayac.
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Vue de la rue Saint-Sauveur depuis le nord-est.
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Vue du front nord des maisons de la rue André-Lamandé.
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Vue de la rue Saint-Romain depuis le sud.
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Vue de la rue Saint-Romain depuis l'angle de l'avenue Paul-Tardy.
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Vue de la rue Lucien-Grosperrin depuis l'ouest.
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Vue de la Rue Neuve depuis l'entrée de la rue au nord-ouest.
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Vue de la Rue Neuve depuis le nord-ouest.
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Vue de la Rue Neuve depuis le sud-est.
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70, rue de l'Hôpital : cour d'une maison en partie détruite avec puits et escalier d'un corps de logis secondaire.
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Ruelle entre la place de la Victoire et la rue Saint-Sauveur au fond.
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Ruelle entre le cours de la République et la rue Saint-Romain.
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Vue de la ruelle entre le cours de la République et la rue Saint-Romain vers l'ouest.
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Maisons de la 1ère moitié du 20e siècle rue Urbain-Chasseloup.
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Vue de la rue Ernest-Régnier depuis l'extrémité sud-est.
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Bas de la rue Ernest-Régnier.
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Vue d'ensemble de l'entrée de la place de la Citadelle dans l'environnement urbain, depuis l'ouest.
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Maisons sur la rue Saint-Romain.
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Vue de la rue du Marché depuis la place de la Victoire.
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Ancien passage dit "chemin des douaniers", sur le rebord de l'escarpement surplombant le cours Bacalan.
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Escalier permettant de monter à la rue Ernest-Régnier depuis le cours Bacalan.
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Partie haute du passage permettant de descendre de la rue Ernest-Régnier au cours Bacalan.
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Façades des maisons sur le cours Bacalan.
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Vue des maisons alignées sur le cours Bacalan.
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Maisons reconstruites cours Bacalan suite au bombardement de 1944.
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Entrée de la rue Paul-Raboutet depuis le sud-ouest.
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Cours de la République : immeubles construits dans les années 1990.
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Cours de la République, bibliothèque : date et signatures.
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Cours de la République, centre des finances publiques : date et signatures.
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Vue des maisons de la Cité la Cave nord (aujourd'hui Tarrega), depuis la rue André-Lafon.
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Vue des maisons de la Cité la Cave nord (aujourd'hui Tarrega), depuis la Adélaïde-Hautval.
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Chemin public à l'arrière des maisons côté impair de la rue de l'Hôpital : passage entre murs de clôture et cabanes de jardins.
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Chemin public à l'arrière des maisons côté impair de la rue de l'Hôpital : passage entre des bâtiments de dépendance donnant sur les jardins.
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Chemin public à l'arrière des maisons côté impair de la rue de l'Hôpital : passage entre des bâtiments de dépendance donnant sur les jardins.
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Chemin public à l'arrière des maisons côté impair de la rue de l'Hôpital : passage le long de bâtiments de dépendance donnant sur les jardins.
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Chemin public à l'arrière des maisons côté impair de la rue de l'Hôpital : passage entre murs de clôture et jardins en contrebas.
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Elévation postérieure des maisons côté impair de la rue Ernest-Régnier, vue depuis le chemin longeant la terrasse supérieure.
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Rue des maçons : servitude de passage donnant accès aux jardins en contrebas.
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Vue sur l'élévation postérieure des maisons rue de l'Hôpital depuis des jardins au sud-est.
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Murets de jardins à l'arrière de la rue des Maçons.
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Chemin du Monteil, bordé de murs de clôture.
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Escalier entre deux remises, reliant le début du cours Bacalan avec la rue Ernest-Régnier.
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Placette à l'entrée de la rue Roger-Toziny : urinoir.
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Terre-plein à la jonction du cours de la République et de la rue Saint-Romain : aménagement avec une ancre de marine.
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Cours de la République : ancien poteau électrique (supprimé vers 2015).
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Rue Lucien-Grosperrin : poste électrique.
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3 Rue Roger-Toziny : Centre des finances publiques. Vue d'ensemble depuis le nord-est.
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Rue Lucien-Grosperrin : école maternelle Lucien Grosperrin, vue depuis la rue.
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Rue du Docteur-Boutin : Centre d'information jeunesse, vue d'ensemble depuis l'ouest.
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Rue du Docteur-Boutin : Centre d'information jeunesse, vue d'ensemble depuis le nord-ouest.
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4 avenue Haussmann : ancien entrepôt de la SACT. Vue d'ensemble depuis le nord.
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Îlot compris entre le cours Vauban, les rues Saint-Sauveur et André-Lamandé : vue des toitures depuis le bâtiment de la caisse d'épargne.
Beschi Alain
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue depuis le groupe scolaire André-Vallaeys vers la ville au sud-ouest, avec le campanile de l'hôtel de ville.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Gironde
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